La maison était remplie de monde pour la première communion de mon fils ainé. Comme d’habitude, ma femme n’avait pas lésiné sur les dépenses. . Elle avait bien entendu invité toutes ses amies. Y compris Dina qui avait toujours l’air de me narguer, et qui n’hésitait pas à me montrer par la même occasion son assurance, en me regardant droit dans les yeux. Elle ne m’aimait pas, je le savais. Et je ne la supportais pas non plus. Elle était l’unique amie de ma femme Emma, à qui je n’avais jamais adressé la parole. Je faisais toujours semblant de l’ignorer mais je la surveillais, car elle était aussi la seule personne qui pouvait me discréditer aux yeux de mon épouse. Malinka, une des meilleures amies de cette dernière interrompit mes réflexions.
Puis, me lançant un clin d’œil, elle se dirigea vers l’étage supérieur. Je la suivis des yeux. Grande, portant les cheveux courts et bien roulée, elle avait une taille fine qui contrastait fortement avec son postérieur imposant. Il était pratiquement impossible de ne pas la remarquer dans cette cohue. Elle m’avait attirée dès le premier instant où Emma me l’avait présentée, il y a cinq ans à cette fête de fin d’année, au bureau où elles travaillaient toutes les deux. Arrivée au haut de l’escalier, elle se retourna pour me sourire et m’indiqua du doigt la porte de la chambre d’amis. L’effrontée ! Cette fille n’avait pas froid aux yeux et je l’adorais. Toujours prêt à relever un défi et aimant le frisson de la chasse, je jetai un coup d’œil rapide autour de moi pour m’assurer que la voie était libre et grimpai à mon tour les marches, pour la rejoindre, dans la chambre où fébrile, le cœur battant, elle m’attendait la jupe relevée. Sans me faire prier, j’ouvris ma braguette, pour laisser jaillir mon appareil qui s’érigea dur comme fer, pour battre la mesure à l’intérieur de ce volcan au feu dévorant.
Lorsque je quittai la chambre, je ne fis que quelques pas avant de rencontrer Dina, qui me jeta un regard de désapprobation. Je continuai mon chemin sans sourciller et descendis rapidement l’escalier pour me retrouver cette fois face à Emma.
Je l’avais échappé belle. Cinq minutes de plus et elle nous aurait probablement surpris à l’étage, Malinka et moi. La fête continua. Une demi-heure plus tard, tout le monde était réuni et les prises de photos débutèrent.
Je suis Léo, benjamin d’une famille de cinq enfants. Je n’ai pas connu mon père qui est décédé alors que je n’avais que 2 ans. Elevé par ma mère et mes 4 sœurs, j’ai été entouré de femmes durant toute mon enfance. Est-ce pourquoi je les adore ? Qu’elles soient petites ou grandes, brunes ou noires, minces ou en chair, je ne peux vivre sans elles. Et le désir incontrôlable que je ressens en leur présence engendre bon nombre d’actions, bonnes comme mauvaises.
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